Machine de Cirque

La folie « Machine de Cirque » s’empare de nouveau du Grand Théâtre !

Après avoir conquis Tahiti et fait salle comble lors de leur premier passage, les québécois de Machine de Cirque signent leur grand retour. Rendez-vous les 30 et 31 janvier à la Maison de la Culture pour le show le plus explosif de ce début d’année.

Si vous avez manqué le phénomène la première fois, ou si vous rêvez de revivre l’expérience, c’est le moment ou jamais. La troupe, auréolée d’un succès retentissant en 2025, revient poser ses valises (et ses échafaudages !) en Polynésie Française pour deux soirs seulement.

Un spectacle à couper le souffle

Imaginez un grand terrain de jeu sur scène, un bric-à-brac savamment orchestré où cinq hommes rivalisent d’ingéniosité pour conserver une part d’humanité dans un monde de machines.

Sous la direction de Vincent Dubé, les acrobates (Matthes Speidel, Francis Gadbois, William Borges, Oliver Buti et András Jagudits) ne se contentent pas de faire du cirque : ils réinventent les lois de la physique. Planche coréenne, voltige millimétrée, jonglage de haut vol et vélos acrobatiques s’enchaînent dans un tourbillon d’adrénaline.

Mais la force de Machine de Cirque, c’est son humour déjanté. Comme le souligne si bien Le Parisien, on y retrouve « l’humour des Monty Python » mêlé à une performance physique d’élite. C’est drôle, c’est touchant, et c’est terriblement impressionnant.

Plus qu’un spectacle, une performance musicale

Le rythme du spectacle est dicté par le talentueux Frédéric Lebrasseur. Bien plus qu’un accompagnateur, ce musicien multi-instrumentiste est l’âme sonore de la bande, créant une atmosphère électrique qui captive le public du début à la fin.

La Presse est unanime

Ce n’est pas seulement nous qui le disons, les critiques sont dithyrambiques :

« Ils sont extraordinaires et il ne faut manquer leur performance sous aucun prétexte ! »
— LE FIGARO

« Surprise et fous rires garantis ! »
— TÉLÉRAMA

« Machine de cirque en met plein la vue, émeut et fait rire aussi. Qui dit mieux ? »
— LE MONDE